Principale gare de la capitale, il ne fait nul doute qu’elle était l'une des plus fréquentées de la ville avant. Avant la détérioration des trains et des rails suite à la crise climatique. Lignes de métro et de trains s’y entrecoupent mais pas une en état de desservir Séoul ou d'autres villes plus lointaines. De plus, placée en plein dans l'arrondissement des enragé.e.s aujourd'hui personne n'imagine un train tagué et aux vitres cassées se remettre à fonctionner. Encore plus quand on sait qu'il s'agit du QG des enragé.e.s et qu'il sera difficile de les déloger de là.

Anciennement connu comme le marché de l'électronique. On y trouvait des téléphones, ordinateurs, caméras, appareils photos ect,. Maintenant on y trouve beaucoup moins d'électronique qu'avant cependant on y trouve réellement de tout. Du plus légal ou plus illégal (des armes à la vue de tous par exemple) tout s'échange et il n'y a pas un seul prix qui ne soit pas négocié.

Autrement appelé Itaewon, quartier populaire pour les enragé.e.s, touristes et expatrié.e.s. Western Town est connue pour servir une cuisine étrangère. Restaurants exotiques, indiens, pakistanais, turques, d'Asie du Sud-est, d'Europe et même mexicaine.

Club incontournable de Yongsan. Boîte de nuit la plus connue de Séoul, on ne sait d'où lui vient cette réputation de « the place to be » mais c'est un fait. Libertaires, engagé.e.s, enragé.e.s et conservateur.rice.s se mêlent sur la piste de dance aux sons des meilleurs DJs. Il y a également quatre salles pour quatre ambiances.

Tout le monde a oublié le nom de cet établissement, la raison: tout le monde a pris l’habitude de l’appeler « Le Rade ». Petit bar de quartier, les client.e.s sont essentiellement des habitué.e.s, et autant dire que les nouveaux.elles venu.e.s sont plus que dévisagé.e.s par le personnel comme par la clientèle. Lea serveur.se ne rechignera pas pour autant à vous servir. Cependant iel tentera probablement de vous escroquer quelques wons. Une arrière salle semble rester inaccessible à la plupart des client.e.s : en réalité, c’est ici que les enragé.e.s ont pris pour habitude de se retrouver lors de leurs réunions au sommet.

Déchaînement de violence et paris illégaux dans un vieux hangar désaffecté, bienvenue au Ring. Ici l'argent passe de main en main et les cris de la foule qui encourage les combattants raisonnent contre les murs. On est loin du luxe, mais entre deux coups de poing l'on peut prendre une bière de piètre qualité. Repère malfamé à l'odeur de sueur et de sang, les âmes sensibles ne viennent pas se perdre jusqu'ici.

Banlieue grise et immeubles délabrés. Rien n'est fait pour améliorer la vie dans ces quartiers. De plus les enragé.e.s n'ont pas forcément les moyens de rénover tout le secteur. Pour cette raison on trouve des appartements à tous les prix. Ici on peut faire affaire comme on peut se faire avoir.